Cernunnos Pagan Fest V
Paganism(s) ?
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Texte, photos et vidéos : Vlad Tepes.
Photos : Metallic.
Photos : Metallic.
Moment : 23/01/11.
Lieu : La Machine du Moulin Rouge (Paris 18ème).
Lieu : La Machine du Moulin Rouge (Paris 18ème).
A priori, un festival pagan, ce n’est pas vraiment le type d’endroits où je suis censé être. Non pas que je sois totalement étranger à ces cultures antiques retranscrites en musique, et j’ai même envie de dire « Bien au contraire ! ». Mais il faut bien avouer que l’engouement mercantile suscité dans le domaine métallique avait toujours largement généré un agacement certain en moi. Car reconnaissons que parmi ce foisonnement aussi bien de groupes que de labels spécialisés, on ne peut qu’en conserver une infime partie. Comme a pu l’être le black métal à une époque me direz-vous !
Malgré ces fortes réticences, j’assiste pour la seconde année à la cinquième édition de ce Cernunnos Pagan Fest (Belenos m’ayant inexorablement happé en 2010). Après l’Elysée-Montmartre l’année passée, c’est La Machine du Moulin Rouge qui accueille le festival, où je mets d’ailleurs les pieds pour la toute première fois. Et j’avoue que ce ne fut pas sans un sentiment d’étrangeté, moi qui ai tant arpenté la mythique Loco en d’autres temps…
Je commence le festival sur la grande scène avec les irlandais de Mael Mórdha, pratiquant un métal que je qualifierais de brutal-folk. J’entends par-là que le groupe maitrise son sujet dans un registre usé jusqu’à la moelle, où la seule envie qui vient à l’auditeur est de prendre une bière.
Malgré ces fortes réticences, j’assiste pour la seconde année à la cinquième édition de ce Cernunnos Pagan Fest (Belenos m’ayant inexorablement happé en 2010). Après l’Elysée-Montmartre l’année passée, c’est La Machine du Moulin Rouge qui accueille le festival, où je mets d’ailleurs les pieds pour la toute première fois. Et j’avoue que ce ne fut pas sans un sentiment d’étrangeté, moi qui ai tant arpenté la mythique Loco en d’autres temps…
Je commence le festival sur la grande scène avec les irlandais de Mael Mórdha, pratiquant un métal que je qualifierais de brutal-folk. J’entends par-là que le groupe maitrise son sujet dans un registre usé jusqu’à la moelle, où la seule envie qui vient à l’auditeur est de prendre une bière.