samedi 31 décembre 2011

Morbid Angel / Necrophobic / Nervecell - Live Paris (16/12/2011)



Morbid Angel / Necrophobic / Nervecell

Tourments...

(par Metallic)




Illud Divinum Insanus Tour
Moment : 16/12/11.
Lieu : La Machine du Moulin Rouge (Paris 18ème).



Dernier concert de l'année 2011 pour la Horde, enfin pour ma part et encore j'ai émis pendant longtemps une réserve sur cette soirée.

La peur d'être de nouveau déçu comme à la dernière édition du Hellfest ainsi qu'à leur prestation à l'Elysée Montmartre de novembre 2008 ? Morbid Angel me tiraille dans tous les sens à chaque fois que je les vois.

Ma jeunesse métallique a débuté avec ce monument du Death Metal, je me devais de leur laisser une dernière chance. La salle de ce soir m'a également aidé dans mon choix puisqu'il s'agit de la Machine du Moulin Rouge, l'ex-Locomotive relookée et rafraichie. La proximité que procure cette salle avec les groupes m'a donc convaincu pour revoir de nouveau mes idoles.




I. Nervecell : Pluriculturel

J'arrive en retard mais juste à temps pendant le premier morceau joué par un groupe venu de Dubaï que je ne connais point. Il s'agit de Nervecell. Mon étonnement est que le groupe ne joue pas sur la scène principale mais dans la salle du sous-sol, la "Chaufferie". Salle où nous trouvons plus de personnes sur les balcons et les escaliers que dans la fosse.

dimanche 25 décembre 2011

Anna Ternheim / The Tiny - Live Paris (29/04/2009)



Anna Ternheim / The Tiny

Un moment d’apaisement…

(par Vlad Tepes)



"Leaving on a mayday" tour (part 1).
Moment : 29/04/09.
Lieu : Café de la Danse (Paris 11ème).


Anna Ternheim @Café de la Danse, Paris 29/04/2009


Cela fait deux ans et demi et mes souvenirs demeurent toujours intacts…

Il s’agissait de mon tout premier contact live avec Anna Ternheim, dont je ne possédais alors qu’un EP en la qualité de "Lovers Dream & More Music for Psychotic Lovers". Je n’en connaissais donc que très peu sur la dame, et c’est bel et bien dans une optique de curiosité appuyée que je me dirigeais vers le Café de la Danse. J’arrivais relativement peu en avance, et toutes les places assises avaient été prises d’assaut. Je me plaçais donc dans cette si maigre fosse, qui fut très vite envahie ! Mais je me ravissais d’avance, celle-ci étant collée à une scène assez peu surélevée. Durant la soirée il y a aura eu de grotesques conflits entre les personnes assises et celles de la fosse : ces dernières se mettant debout, certaines personnes assises n’y voyaient plus rien. Je n’ai qu’un seul mot à dire à ceux qui cherchent le confort en allant à un concert : restez chez vous à regarder un simple DVD, et laissez les mélomanes en paix. Merci !!
Cette anecdote achevée, passons maintenant au cœur de ce qui nous intéresse…


jeudi 15 décembre 2011

Atrosis

Atrosis_logo



(Par Lucy Dayrone)


La dimension cachée

Des rêves en noir et blanc, des âmes perdues, des amours infernaux, il est des mondes par delà le nôtre dans lesquels les éléments primordiaux ne sont pas les mêmes que ceux que nous touchons ici. L’art parfois révèle cette autre matière, secrète souvent faite de tourments ou de passions. Et c’est parfois discrètement que la musique dite gothique nous invite à la suivre au-delà des apparences, dans la dimension sombre des choses.

Entre les êtres qui battissent ces portails sonores et ceux qui les traversent, il y existe une relation profonde et souvent ignorée. A chaque artiste son plan d’existence propre. A chaque auditeur une clé différente. Il faut juste parfois se donner la peine d’entrer vraiment, de tout son être, d’explorer chaque son, chaque mot prononcé, pour cerner ce qui, à l’écriture, a voulu être montré, se rendre compte qu’au-delà du simple plaisir de l’écoute il y a quelqu’un qui vous invite et se raconte… Aussi, pourquoi ne pas laisser Artrosis vous guider quelques instants vers sa dimension cachée ?…

dimanche 11 décembre 2011

Uncolored Wishes - "Fragrance" (2011)


(Par Lucy Dayrone)


Parution : Format : Label : Univers : Pays :
Octobre 2011 LP Manitou/Pervade Heavy rock progressif France


Uncolored Wishes – Fragrance (2011)
Track-list :

1) Penitents On The Hight Wire
2) Children Of Contempt
3) Dear Adélie
4) Stars & Stripes On Iwo Jima
5) Sakountala
6) Paradoxical Dream
7) Fragrance
8) Red Doll Romanov   Lien YouTube
9) Spiritual Food
10) Hudson Lowe

Line-up :

Marc Tari : Vocaux.
Chris Mesples : Claviers.
Gabriel Jacques : Guitares.
Anthony Forest : Basse.
Olivier Gotillot : Batterie.
Membres additionnels :

Aucun.







Si vous attendiez de cette chronique quelque chose de plus que celles déjà réalisées par d'autres, je puis vous dire que vous êtes sur le bon webzine. Toutefois, je dois m'aligner sur l'avis unanime de tous : Fragrance est un chef d’œuvre.


Le CD placé dans le lecteur et c'est l'univers qui bascule. Premières paroles, premières notes : envolée immédiate vers une dimension que l'on ne soupçonnait pas d'exister... Du début à la fin, nulle déception mais une surprise, l'envie d'appuyer sur replay, l'envie de boucle infinie, comme un besoin vital.

Fragrance est un parfum musical enivrant, une note qui en comporte des milliards d'autres, s'imprimant sur la peau par tant de frissons qu'il faudra les sentir plonger jusqu'aux veines pour pouvoir les décrire.

Hélas, je dois avouer qu'après des semaines dont les heures furent presque exclusivement bercées de cet album, ne sortent de moi que d'infimes volutes de mots pour vous en parler.


Alors vous comprendrez que le monde peut parler de la merveille d'Uncolored Wishes, cela ne suffira jamais : c'est un album qui ne souffre pas la critique, les synthèses et autres analyses du genre : simplement l'écoute et l'envol.


Laissez-moi être votre humble guide à travers les titres de Fragrance pour qu'imprégnés de la musique, vous puissiez l'être aussi par les paroles. Car si Uncolored Wishes tend à se démarquer musicalement, la volonté du chanteur, Marc Tari, est d'ajouter les mots justes à ces mélodies dans l'unique but de réveiller les consciences, sans propagande, sans avis, seulement des questions essentielles face à notre monde.

mercredi 7 décembre 2011

Interview Paradise Lost


Paradise Lost_logo

Eras of sadness…



Paradise Lost


Paradise Lost est une entité qu’on ne présente plus, du haut de plus de 20 ans de carrière maintenant. Tour à tour véritables piliers du doom puis du métal gothique, le groupe continue de fasciner et d’émouvoir au travers d’œuvres aussi différentes que racées.
Suite à la tournée où quelques uns d’entre nous (et d’entre vous !) ont eu la chance d’entendre le cultissime Draconian Times sur scène, et juste avant un nouvel opus en cours d’enregistrement, il nous apparaissait idéal de nous entretenir avec nos tristes sires anglais pour explorer plusieurs champs.
Nous avons ainsi sollicités Nick Holmes et Aaron Aedy par courriel, leur laissant la parole…



I. Draconian Times MMXI

Paradise Lost

1) Nous allons commencer par aborder ensemble votre nouveau DVD live, "Draconian times MMXI". L’artwork apparaît comme assez intrigant, à la fois étranger et familier. En effet, il semble reprendre des éléments issus de la pochette originelle de "Draconian Times" en termes de forme, tout en marquant une très nette différence au niveau du contenu, notamment sur le plan chromatique.

Était-ce une volonté délibérée d’avoir à la fois un pied en 1995 et un pied en 2011 ?

Avez-vous votre mot à dire sur le choix des pochettes ? Si ce n'est pas le cas, pouvez-vous nous dire comment vous auriez imaginé celle de "Draconian Times MMXI" ?


- Nick Holmes : Oui nous avons un contrôle sur l’artwork. Nous aimons l’aspect graphique de cartoon moderne combiné avec le style flamboyant des années 90, ce qui était délibéré.

- Aaron Aedy : Nous avons toujours réussi à garder un contrôle artistique depuis le début et dans l’ensemble nous avons été chanceux d’avoir des maisons de disque nous ayant fait suffisamment confiance pour continuer. J’adore cet artwork, c’est une sorte de modernisation de l’artwork de "The Last Time" et il apparaît comme très contemporain et nouveau.

Nouveau site, nouveau design !


Chères lectrices, chers lecteurs nous vous présentons aujourd'hui notre nouveau site en guise d'anniversaire.
En effet, notre webzine Psychopathia Melomania existe maintenant depuis 1 an.

L'URL du site est identique, seul les liens des articles changent.
http://www.psychopathia-melomania.com/

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