Main Square Festival 2018
(par Elise Schipman)
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Moment : 6, 7 et 8 juillet 2018.
Lieu : Citadelle d'Arras (Arras, 62).
Lieu : Citadelle d'Arras (Arras, 62).
En quatorze ans, le Main Square a eu le temps de se faire
une belle place au soleil dans les événements immanquables de la région et
question soleil nous avons été gâtés !
Pas moins de 120 000 festivaliers ont pu profiter des concerts et animations en tous genres pour une édition réussie haut la main encore une fois.
L'ouverture du festival se fait calmement, la faute à qui ? Au foot bien sûr ! Et oui quand dans la même après-midi vous avez les équipes de France et de Belgique qui disputent chacun leur place dans la compétition, ça se ressent au sein de la Citadelle. Cependant, leurs victoires respectives ont permis une montée en puissance de l'ambiance entre festivaliers.
Pas moins de 120 000 festivaliers ont pu profiter des concerts et animations en tous genres pour une édition réussie haut la main encore une fois.
L'ouverture du festival se fait calmement, la faute à qui ? Au foot bien sûr ! Et oui quand dans la même après-midi vous avez les équipes de France et de Belgique qui disputent chacun leur place dans la compétition, ça se ressent au sein de la Citadelle. Cependant, leurs victoires respectives ont permis une montée en puissance de l'ambiance entre festivaliers.
Vendredi 06 juillet
The Breeders ouvre le bal sur la Mainstage.
Un rock indépendant américain, mené par les sœurs Deal qui étaient au moins
attendues par le premier rang très enthousiaste. Celui-ci restera cependant
cantonné aux premiers rangs, le reste du public étant attentif mais passif.
On se dirige alors sur la Green Room
pour découvrir Pvris qui poursuit la lancée rock américain. Lynn Gunn
réussit le pari de faire bouger la Green
Room sous un soleil de plomb. Les festivaliers commencent à se lâcher et
cela inspire de bonnes choses pour la suite de la journée.
Les concerts se suivent et ne se ressemblent pas, Damian « Jr Gong » Marley enchaîne sur la Mainstage pour le plus grand plaisir des fans de reggae. Bon, je vous avoue, ce n'est pas ma tasse de thé, mais le public lui est clairement dans l'ambiance.
Deux têtes d'affiche pour moi en ce vendredi, Gojira et Queens of the Stone Age.
Gojira, un des groupes les plus influents de la scène métal française a mis le feu, littéralement !! Leur réputation n'est plus à faire et les fans étaient bel et bien présents pour pogoter et profiter pleinement d'un set puissant et lourd. On assistera même à un combat de requins géants gonflables dans la fosse. Un lightshow travaillé, canons à fumée, flammes, tout est fait pour faire augmenter la température qui était déjà très chaude.
Les fans de métal
pourront continuer de dépenser leur énergie face à Pleymo.
A l'occasion d'une mini tournée anniversaire pour leurs 10 ans, le groupe de métal français va réveiller une certaine nostalgie dans le public. Le groupe ne parle pas (encore ?) d'un nouvel album, mais simplement de se faire plaisir à cette occasion. Mark Maggiori, dès le premier titre, impose le ton et on ne sera pas déçus ! Le public est chaud, saute, reprend les anciens titres en chœur et laisse parler l'adolescent qui est en lui.
A l'occasion d'une mini tournée anniversaire pour leurs 10 ans, le groupe de métal français va réveiller une certaine nostalgie dans le public. Le groupe ne parle pas (encore ?) d'un nouvel album, mais simplement de se faire plaisir à cette occasion. Mark Maggiori, dès le premier titre, impose le ton et on ne sera pas déçus ! Le public est chaud, saute, reprend les anciens titres en chœur et laisse parler l'adolescent qui est en lui.
C'est maintenant l'heure de Queens of the Stone Age. Seconde
grosse tête d'affiche du Main Square
et le moins que l’on puisse dire, c’est que la performance du groupe a répondu
aux attentes ! Pas de light show pharaonique, pas de longs discours, QOTSA est là pour jouer et c’est ce
qu’il fait de mieux. La forme est presque caricaturale : c’est du rock
américain, du vrai (celui qu’on imagine dans les bars enfumés du Middle West,
un verre de bourbon à la main) joué par quatre quadras bodybuildés et tatoués
qui enchainent les solos (guitares / batterie). Le fond, lui, est beaucoup plus
subtil qu’il n’y paraît : la structure des chansons est complexe et possède une
indéniable musicalité (il suffit d’écouter l’incroyable No One Knows pour le comprendre). Dès les premiers accords, on est
pris dans un tourbillon électrique puissant à la fois teigneux et groovy, dans
lequel on ne sortira qu’une bonne heure plus tard après une trilogie finale
dantesque (Little Sister / Go with the Flow / A Song for the Dead) qui nous laisse à la fois abasourdis et
heureux.
La soirée se poursuit avec Jungle puis Nekfeu qui rassemble encore beaucoup de festivaliers qui voulaient profiter de ce jeune rappeur devenu incontournable sur la scène hip-hop française.
La journée se clôture avec Paul Kalkbrenner qui transformera la belle citadelle en boite de nuit à ciel ouvert pour tous les festivaliers ne souhaitant pas aller se coucher.
Samedi 07 juillet
On commence notre seconde journée devant Courteeners qui ouvre la Mainstage. De l'indé-rock anglais qui n'a pas encore réellement dépasser les frontières. Ce n'est jamais simple d'ouvrir une journée, cependant, les titres sonnent beaucoup plus forts, plus rock que sur les albums, ce qui permet d'installer une très bonne ambiance en ce début d'après-midi.
Alors que Black Foxxes a pris place sur la Green Room, on teste pour vous le stand de tatouages éphémères, un grand succès et ravie du résultat ! Cette année le Main Square a redoublé d'efforts pour vous offrir un maximum de distractions entre les concerts : stand de tatouage, barber shop, stand de jeux d'arcades et la grosse nouveauté cette année le parcours d'accrobranche ! En parlant de nouveautés, vous êtes allez faire un tour dans la Green Room jungle ? Les plus petites boites de nuits du monde (je pense) ! 10 personnes, un DJ perso, une ambiance de feu ...
Retournons à nos moutons, on retrouve Wolf Alice qui comme Courteeners est un groupe indé anglais dont la notoriété a encore du mal à dépasser les frontières. Les premiers rangs sont en tout cas au rendez-vous et les attendent avec impatience. Le groupe a un répertoire assez diversifié et pour un public non averti il est facilement possible de se perdre, ce qui a été un peu le cas ce jour. Le concert est bon, l’énergie est là mais on ne sait pas vraiment sur quel pied danser tant les titres s’enchaînent et ne se ressemblent pas.
BB Brunes prend le relais un peu plus tard sur la Mainstage. Un groupe qui a beaucoup été moqué et qui l'est encore (certainement pas des personnes qui n'ont pas pris le temps de revoir leur jugement) mais qui pourtant a bien mûri. Le set s'articule autour de leurs 4 albums et force est de constater que la communion avec le public est plus que présente. Ils reprennent en cœur les différents titres phares du groupe qui se veulent assez nombreux.
Basement a commencé sur la Green Room. Ces Anglais nous offrent un set rock/punk qui donne envie de bouger et à la fois on se dit qu'il manque un petit truc pour que l'ambiance décolle vraiment.
Liam Gallagher est égal à lui-même, peu de prestance sur scène, quasiment immobile. Cependant l'ex-membre d'Oasis est quand même très attendu par son public, son album solo a été un succès mais une partie du public est là pour entendre les titres d'Oasis, on ne va pas se le cacher.
Je quitte le concert pour aller voir Oscar and The Wolf, le chanteur belge qui ne peut pas laisser indifférent (qu'on aime ou non). Une présence scénique indéniable, des rythmes électro efficaces, des danses caractéristiques du leader, voilà un mélange parfait qui vous emmène dans son univers si particulier, on aurait presque envie que ça ne s'arrête jamais.
Pourtant, sur la Mainstage c'est Depeche Mode qui s'installe, très attendu et ça se voit, la citadelle est noire de monde.
Comme Indochine, c'est un des rares groupes à avoir survécu dignement aux années 80... leurs derniers albums, plus dispensables, sont surtout des prétextes à réaliser des tournées où leurs performances scéniques restent impressionnantes. Le groupe n’a pas déçu, délivrant un set de 15 titres - pratiquement 15 hymnes - repris à l’unisson par un public certes plus âgé que celui présent pour BB Brunes 2 heures plus tôt, mais pas moins enthousiaste. Sur scène, Depeche Mode ne triche pas. Dès le premier morceau, David Gahan arpente la scène, tournoie, harangue la foule et a déjà fait probablement plus de pas que Liam Gallagher ne fera jamais durant une tournée entière... Martin Gore, dans un registre plus en retenue, est tout aussi charismatique... du 1er titre (l’ouverture de leur dernier album) au dernier (le 1er titre de leur carrière, la boucle est bouclée), on sent que le set est maîtrisé (le groupe tourne depuis plus d’un an). Pour autant, même après 35 ans de carrière, le plaisir de jouer ensemble est toujours palpable. Un plaisir communicatif pour un public conquis d’avance et reconnaissant, l’espace de 100 minutes, d’avoir retrouvé ses 20 ans.
Le troisième jour a toujours une saveur particulière, avec l'accumulation de fatigue, mais aussi parce qu'il sonne la fin du festival qui comme chaque année passe à une vitesse folle.
Youngr ouvre le bal sur la Mainstage. Seul, entouré d'un côté de claviers, de l'autre batterie et percussions, il nous offre une électro-pop qui met directement l'ambiance pour cette belle journée.
The Hunna prend le relais sur la Green Room, groupe de jeunes Anglais qui font penser à Coasts, passés au Main Square il y a 3 ans. Un son pop-rock dynamique qui transmet une énergie positive, l'envie de se défouler. Le public est très réceptif et le charisme du chanteur n'enlève rien à cette très belle prestation.
On va passer à un tout autre univers avec Loic Nottet. Artiste belge qui nous a surpris dès le premier titre. Effectivement, ce n'est pas juste de la musique, mais un spectacle complet qu'il va nous offrir. Un show digne de « Danse avec les stars », il nous offre avec ses danseurs, des chorégraphies étudiées sur un son pop-rock électro qui nous fait profiter d'un vent de fraîcheur largement appréciable.
Girls in Hawaii qu'on avait déjà pu découvrir en 2014 sur cette même scène donne un live propre et sans fioritures.
La tête d'affiche du jour I AM rassemble la Mainstage et nous replonge quelques années auparavant. Après Depeche Mode la veille, nouvel instant de nostalgie. Les fans sont évidemment au rendez-vous et profitent pleinement de tous ces tubes.
Je m’éclipse alors sur la Green Room pour aller voir Portugal. The Man. Je ne vous cache pas que j'attendais ce concert avec impatience ! Ils ouvrent le live sur For Whom the Bell Tolls de Metallica, ce qui je dois dire, passé la surprise des premières secondes, a mis une ambiance de folie chez les festivaliers ! Le set s'articule principalement autour des deux derniers albums "Woodstock" et "Evil Friends" pour notre plus grand plaisir.
Je passerai rapidement sur la prestation de Jamiroquai qui pour moi a été un peu trop longue. Même si les fans de la première heure étaient présents, on sentait dans la fosse que le public attendait Orelsan avec grande impatience !
En effet, le Normand a la lourde tâche de fermer le festival et il le fera avec
brio ! Alors qu'on est beaucoup trop serrés dans les premiers rangs, Orelsan
ouvre le concert avec San pour
poursuivre avec son fameux titre Basique
qui lancera l'ambiance dès la première note. Le public est en grande forme et
lui aussi. Il enchaînera alors quasiment l'ensemble des titres de son dernier
album La fête est finie. On
notera l'intensité de Notes pour trop
tard qui tire les larmes de plusieurs personnes autour de moi. Les textes
sont forts, l'émotion est là, l’énergie se sent jusqu'au bout de la citadelle
et comme il l'a commencé, il terminera par Basique
qui permettra aux plus réservés de se défouler une dernière fois avant la fin
du festival. On mange de la poussière, on saute, on perd ses affaires (RIP mes
lunettes) mais Main Square, je
t'aime, à l'année prochaine !
La soirée se poursuit avec Jungle puis Nekfeu qui rassemble encore beaucoup de festivaliers qui voulaient profiter de ce jeune rappeur devenu incontournable sur la scène hip-hop française.
La journée se clôture avec Paul Kalkbrenner qui transformera la belle citadelle en boite de nuit à ciel ouvert pour tous les festivaliers ne souhaitant pas aller se coucher.
Samedi 07 juillet
On commence notre seconde journée devant Courteeners qui ouvre la Mainstage. De l'indé-rock anglais qui n'a pas encore réellement dépasser les frontières. Ce n'est jamais simple d'ouvrir une journée, cependant, les titres sonnent beaucoup plus forts, plus rock que sur les albums, ce qui permet d'installer une très bonne ambiance en ce début d'après-midi.
Alors que Black Foxxes a pris place sur la Green Room, on teste pour vous le stand de tatouages éphémères, un grand succès et ravie du résultat ! Cette année le Main Square a redoublé d'efforts pour vous offrir un maximum de distractions entre les concerts : stand de tatouage, barber shop, stand de jeux d'arcades et la grosse nouveauté cette année le parcours d'accrobranche ! En parlant de nouveautés, vous êtes allez faire un tour dans la Green Room jungle ? Les plus petites boites de nuits du monde (je pense) ! 10 personnes, un DJ perso, une ambiance de feu ...
Retournons à nos moutons, on retrouve Wolf Alice qui comme Courteeners est un groupe indé anglais dont la notoriété a encore du mal à dépasser les frontières. Les premiers rangs sont en tout cas au rendez-vous et les attendent avec impatience. Le groupe a un répertoire assez diversifié et pour un public non averti il est facilement possible de se perdre, ce qui a été un peu le cas ce jour. Le concert est bon, l’énergie est là mais on ne sait pas vraiment sur quel pied danser tant les titres s’enchaînent et ne se ressemblent pas.
BB Brunes prend le relais un peu plus tard sur la Mainstage. Un groupe qui a beaucoup été moqué et qui l'est encore (certainement pas des personnes qui n'ont pas pris le temps de revoir leur jugement) mais qui pourtant a bien mûri. Le set s'articule autour de leurs 4 albums et force est de constater que la communion avec le public est plus que présente. Ils reprennent en cœur les différents titres phares du groupe qui se veulent assez nombreux.
Basement a commencé sur la Green Room. Ces Anglais nous offrent un set rock/punk qui donne envie de bouger et à la fois on se dit qu'il manque un petit truc pour que l'ambiance décolle vraiment.
Liam Gallagher est égal à lui-même, peu de prestance sur scène, quasiment immobile. Cependant l'ex-membre d'Oasis est quand même très attendu par son public, son album solo a été un succès mais une partie du public est là pour entendre les titres d'Oasis, on ne va pas se le cacher.
Je quitte le concert pour aller voir Oscar and The Wolf, le chanteur belge qui ne peut pas laisser indifférent (qu'on aime ou non). Une présence scénique indéniable, des rythmes électro efficaces, des danses caractéristiques du leader, voilà un mélange parfait qui vous emmène dans son univers si particulier, on aurait presque envie que ça ne s'arrête jamais.
Pourtant, sur la Mainstage c'est Depeche Mode qui s'installe, très attendu et ça se voit, la citadelle est noire de monde.
Comme Indochine, c'est un des rares groupes à avoir survécu dignement aux années 80... leurs derniers albums, plus dispensables, sont surtout des prétextes à réaliser des tournées où leurs performances scéniques restent impressionnantes. Le groupe n’a pas déçu, délivrant un set de 15 titres - pratiquement 15 hymnes - repris à l’unisson par un public certes plus âgé que celui présent pour BB Brunes 2 heures plus tôt, mais pas moins enthousiaste. Sur scène, Depeche Mode ne triche pas. Dès le premier morceau, David Gahan arpente la scène, tournoie, harangue la foule et a déjà fait probablement plus de pas que Liam Gallagher ne fera jamais durant une tournée entière... Martin Gore, dans un registre plus en retenue, est tout aussi charismatique... du 1er titre (l’ouverture de leur dernier album) au dernier (le 1er titre de leur carrière, la boucle est bouclée), on sent que le set est maîtrisé (le groupe tourne depuis plus d’un an). Pour autant, même après 35 ans de carrière, le plaisir de jouer ensemble est toujours palpable. Un plaisir communicatif pour un public conquis d’avance et reconnaissant, l’espace de 100 minutes, d’avoir retrouvé ses 20 ans.
Dimanche 08 juillet
Le troisième jour a toujours une saveur particulière, avec l'accumulation de fatigue, mais aussi parce qu'il sonne la fin du festival qui comme chaque année passe à une vitesse folle.
Youngr ouvre le bal sur la Mainstage. Seul, entouré d'un côté de claviers, de l'autre batterie et percussions, il nous offre une électro-pop qui met directement l'ambiance pour cette belle journée.
The Hunna prend le relais sur la Green Room, groupe de jeunes Anglais qui font penser à Coasts, passés au Main Square il y a 3 ans. Un son pop-rock dynamique qui transmet une énergie positive, l'envie de se défouler. Le public est très réceptif et le charisme du chanteur n'enlève rien à cette très belle prestation.
On va passer à un tout autre univers avec Loic Nottet. Artiste belge qui nous a surpris dès le premier titre. Effectivement, ce n'est pas juste de la musique, mais un spectacle complet qu'il va nous offrir. Un show digne de « Danse avec les stars », il nous offre avec ses danseurs, des chorégraphies étudiées sur un son pop-rock électro qui nous fait profiter d'un vent de fraîcheur largement appréciable.
Tom Walker nous offrira un moment plus calme, mais tout aussi agréable
avant de laisser la place à Nothing But Thieves. Leur réputation n'est
plus à faire en Angleterre et commence à bien s'installer en Europe. Ils se
sont offert la première partie de Muse en 2016 et cette expérience peut se
ressentir dans leur manière d'aborder le live. Quelque chose de puissant,
nuancé et assez hypnotisant au final.
Girls in Hawaii qu'on avait déjà pu découvrir en 2014 sur cette même scène donne un live propre et sans fioritures.
La tête d'affiche du jour I AM rassemble la Mainstage et nous replonge quelques années auparavant. Après Depeche Mode la veille, nouvel instant de nostalgie. Les fans sont évidemment au rendez-vous et profitent pleinement de tous ces tubes.
Je m’éclipse alors sur la Green Room pour aller voir Portugal. The Man. Je ne vous cache pas que j'attendais ce concert avec impatience ! Ils ouvrent le live sur For Whom the Bell Tolls de Metallica, ce qui je dois dire, passé la surprise des premières secondes, a mis une ambiance de folie chez les festivaliers ! Le set s'articule principalement autour des deux derniers albums "Woodstock" et "Evil Friends" pour notre plus grand plaisir.
Je passerai rapidement sur la prestation de Jamiroquai qui pour moi a été un peu trop longue. Même si les fans de la première heure étaient présents, on sentait dans la fosse que le public attendait Orelsan avec grande impatience !
Déposées par Elise Schipman.
Psychopathia Melomania tient particulièrement à remercier Elise Schipman pour cette dernière collaboration avec notre webzine ainsi que les équipes du Main Square pour ce festival.
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