Satyricon
The age of Chao
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The Tour of Nero 2008
Moment : 23/11/08.
Lieu : La Locomotive (Paris 18ème).
Moment : 23/11/08.
Lieu : La Locomotive (Paris 18ème).
Texte : Vlad Tepes.
Photos : Metallic / Vlad Tepes.
Vidéo : Metallic.
Ce furent deux semaines très chargées en cette fin novembre 2008, entre les prestations parisiennes d’Enslaved, Opeth, Morbid Angel et… Satyricon !
Nos chers norvégiens ont eu la malchance (dirons-nous) de se produire seulement quelques jours après la prestation d’autres norvégiens, les furieux Enslaved. En effet, ces derniers auront délivré un tel set de feu que celui de Satyricon me sera apparu comme bien fade, défendant un "The age of Nero" tout aussi insipide. Pourtant en me présentant ce soir-là à la mythique Loco j’y croyais, car l’expérience m’avait appris que live et studio n’allaient pas toujours de pair chez nos sombres norvégiens. En effet, le franchement mauvais "Now, Diabolical" avait permis à Satyricon d’offrir des prestations scéniques de haute volée, parfaitement dosées entre noirceur et efficacité.
Malheureusement, l’exploit réalisé les années précédentes ne se répéta pas, du moins en ce soir du 23 novembre. La sauce n’a pas pris avec moi, me présentant un groupe à mon sens noyé sous les "tubes". Bien entendu, certains morceaux de leur illustre passé auront été présentés, mais n’auront pas toujours été joués comme souhaités. Ce fut par exemple le cas de l’épique et noir Forhekset (issu du mythique "Nemesis Divina", 1996), sauvagement amputé de son final aux claviers. Choix regrettable s’il en est, mais assez représentatif d’un groupe qui n’aura pas su ce soir-là exalter comme il sait pourtant si bien le faire. Un sacré gâchis…
Nos chers norvégiens ont eu la malchance (dirons-nous) de se produire seulement quelques jours après la prestation d’autres norvégiens, les furieux Enslaved. En effet, ces derniers auront délivré un tel set de feu que celui de Satyricon me sera apparu comme bien fade, défendant un "The age of Nero" tout aussi insipide. Pourtant en me présentant ce soir-là à la mythique Loco j’y croyais, car l’expérience m’avait appris que live et studio n’allaient pas toujours de pair chez nos sombres norvégiens. En effet, le franchement mauvais "Now, Diabolical" avait permis à Satyricon d’offrir des prestations scéniques de haute volée, parfaitement dosées entre noirceur et efficacité.
Malheureusement, l’exploit réalisé les années précédentes ne se répéta pas, du moins en ce soir du 23 novembre. La sauce n’a pas pris avec moi, me présentant un groupe à mon sens noyé sous les "tubes". Bien entendu, certains morceaux de leur illustre passé auront été présentés, mais n’auront pas toujours été joués comme souhaités. Ce fut par exemple le cas de l’épique et noir Forhekset (issu du mythique "Nemesis Divina", 1996), sauvagement amputé de son final aux claviers. Choix regrettable s’il en est, mais assez représentatif d’un groupe qui n’aura pas su ce soir-là exalter comme il sait pourtant si bien le faire. Un sacré gâchis…
Set-list Satyricon :
1) Angstridden
2) The Wolfpack
3) Now, Diabolical
4) Black Crow on a Tombstone
5) Havoc Vulture
6) Commando
7) The Sign of the Trident
8) Forhekset
9) Die By My Hand
10) Du Som Hater Gud
11) The Pentagram Burns
Rappel :
12) K.I.N.G.
Rappel 2 :
13) Mother North
14) Fuel for Hatred
Déposées par Vlad Tepes et Metallic.
1) Angstridden
2) The Wolfpack
3) Now, Diabolical
4) Black Crow on a Tombstone
5) Havoc Vulture
6) Commando
7) The Sign of the Trident
8) Forhekset
9) Die By My Hand
10) Du Som Hater Gud
11) The Pentagram Burns
Rappel :
12) K.I.N.G.
Rappel 2 :
13) Mother North
14) Fuel for Hatred
Déposées par Vlad Tepes et Metallic.
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