(Par Lucy Dayrone / By Lucy Dayrone)
Parution : | Format : | Label : | Univers : | Pays : |
Mai 2011 | LP | Debemur Morti Productions | Depressive Black Metal | Allemagne |
Line-up :
Andras : Vocaux, tous les instruments, mixage. |
Membres additionnels :
Aucun. |
J’ai découvert cet album via l’excellente interview de Metallian, dans le numéro 65. La session photos en disait très long, les commentaires un peu plus… Il me fallait me procurer cet album sans rien en écouter avant de le recevoir. Je tenais à ce rituel.
L’album en main, j’avais l’impression de porter une urne, celle contenant les cendres d’âme d’Andras, le compositeur, parolier, chanteur et musicien multi-instrumentaliste de ce très personnel album qu’est « Ex|Ist ».
En effet, cet opus entièrement créé par Andras est une sorte de journal intime, un témoignage de sa descente aux enfers, aux confins de lui-même, au plus profond de son être, là où tout n’est que désordre, laideur, chaos et douleur.
Un boîtier cristal traditionnel renferme un livret contenant les paroles, deux photos qui sont mélangées à l’artwork très simpliste, entre noir et gris, filaments, fêlures, rayures… L’image du CD reprend l’artwork sans rien de plus que le logo du label. Sur le back du boîtier, en intérieur, le copyright, les liens utiles, le concept de l’album. En extérieur, la track-list. Ni plus ni moins. On sait à quoi s’attendre en insérant le disque dans le lecteur.
L’album en main, j’avais l’impression de porter une urne, celle contenant les cendres d’âme d’Andras, le compositeur, parolier, chanteur et musicien multi-instrumentaliste de ce très personnel album qu’est « Ex|Ist ».
En effet, cet opus entièrement créé par Andras est une sorte de journal intime, un témoignage de sa descente aux enfers, aux confins de lui-même, au plus profond de son être, là où tout n’est que désordre, laideur, chaos et douleur.
Un boîtier cristal traditionnel renferme un livret contenant les paroles, deux photos qui sont mélangées à l’artwork très simpliste, entre noir et gris, filaments, fêlures, rayures… L’image du CD reprend l’artwork sans rien de plus que le logo du label. Sur le back du boîtier, en intérieur, le copyright, les liens utiles, le concept de l’album. En extérieur, la track-list. Ni plus ni moins. On sait à quoi s’attendre en insérant le disque dans le lecteur.