Eros Necropsique / My Pollux
Parenthèse de lumière...
(par Vlad Tepes)
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Elyzium Festival
Moment : 16/12/06.
Lieu : La Cartonnerie (Reims, 51).
Moment : 16/12/06.
Lieu : La Cartonnerie (Reims, 51).
Je me souviens de cette virée nocturne à Reims, de ce festival underground où se sont fait entendre les sonorités mielleuses de My Pollux (bien avant que leur chanteuse se fasse connaitre dans une médiocre émission de télévision).
L’apothéose de cette nuit fut à l’évidence inscrite dans la viscéralité de l’Eros Necropsique, accompagné cette fois-ci par une foule de musiciens classiques. Malgré que ce fut la troisième fois que je vus l’Eros sur scène, la tonalité fut partiellement… lumineuse. Tiraillé entre ses anciens démons et ses crises éclairantes, je voguai dans des abysses parfois inconnus. L’Eros devenu lumière ? Un miracle.
En ce froid mois de décembre 2006, l’Eros annonça le travail débutant autour de la quatrième éjaculation du groupe, sobrement intitulée "Parenthèse de lumière". Le fou que je suis espère de tout cœur que l’œuvre puisse continuer de se débattre au sein des affres de la création…
Malgré ce jet soudain de lumière, c’est bel et bien sur la noirceur la plus maladive et la plus pure que s’acheva cette belle et étrange nuit, dans le Delirium de l’être seul :
L’apothéose de cette nuit fut à l’évidence inscrite dans la viscéralité de l’Eros Necropsique, accompagné cette fois-ci par une foule de musiciens classiques. Malgré que ce fut la troisième fois que je vus l’Eros sur scène, la tonalité fut partiellement… lumineuse. Tiraillé entre ses anciens démons et ses crises éclairantes, je voguai dans des abysses parfois inconnus. L’Eros devenu lumière ? Un miracle.
En ce froid mois de décembre 2006, l’Eros annonça le travail débutant autour de la quatrième éjaculation du groupe, sobrement intitulée "Parenthèse de lumière". Le fou que je suis espère de tout cœur que l’œuvre puisse continuer de se débattre au sein des affres de la création…
Malgré ce jet soudain de lumière, c’est bel et bien sur la noirceur la plus maladive et la plus pure que s’acheva cette belle et étrange nuit, dans le Delirium de l’être seul :
Déposées par Vlad Tepes.
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