Hellfest 2006
Germe d'Enfer...
(par Vlad Tepes)
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Moment : Du 23/06/06 au 25/06/06.
Lieu : Complexe sportif du Val de Moine (Clisson, Loire-Atlantique).
Lieu : Complexe sportif du Val de Moine (Clisson, Loire-Atlantique).
Après le succès d’estime assuré par le Fury Fest, le Hellfest voyait en 2006 sa toute première édition, avec le format actuel que nous lui connaissons, à savoir trois jours entiers de festivités métalliques ! Toutefois, l’affiche était bien plus ancrée dans les fondements historiques du Hellfest au-delà de France, à savoir le hardcore. Votre serviteur a donc dû supporter bon nombre de concerts à casquette (excusez-moi du peu, mais cette remarque sort tout droit du cœur…), qui n’auront retenu que mon agacement.
Toutefois, des formations de métal extrême auront su délivrer un excellent set. En effet, Satyricon se sera fait découvrir à un parterre de curieux pas vraiment habitués au black métal norvégien (même muté !), et Opeth aura sublimé un Closure d’une finesse rare (à l’époque où Martin Axenrot commençait à développer un feeling très nouveau pour lui).
Les moments forts auront été délivrés cette année par les anglais, avec d’une part la tombée de nuit accélérée par Cradle of Filth. Entendons-nous bien : cela fut une prestation relativement moyenne du fait de gros problèmes de voix chez notre cher Dani Filth (époque où s’enregistrait le médiocrissime Thornography… ceci expliquant cela). Malgré tout, cela m’a fait extrêmement plaisir de les voir dans de si bonnes conditions de jeu.
D’autre part, Akercocke a pu donner sa toute première apparition scénique en France (la seconde se trouvant ici même : lien direct ). Malgré le fait que le groupe jouait en plein jour (ce qui est assez étrange pour un tel univers, avouons-le), les cinq gentlemen en costume noir et blanc auront délivré une prestation millimétrée et incisive. La messe noire se sera donc bien déroulée, malgré un soleil assassin.
Le Hellfest n’en étant qu’à sa toute première édition, nous étions loin de nous imaginer la suite des événements…
Toutefois, des formations de métal extrême auront su délivrer un excellent set. En effet, Satyricon se sera fait découvrir à un parterre de curieux pas vraiment habitués au black métal norvégien (même muté !), et Opeth aura sublimé un Closure d’une finesse rare (à l’époque où Martin Axenrot commençait à développer un feeling très nouveau pour lui).
Set-list Satyricon :
1) The Pentagram Burns 2) Now, Diabolical 3) Repined Bastard Nation 4) K.I.N.G. 5) Fuel for Hatred 6) Mother North |
Set-list Opeth :
1) The Grand Conjuration 2) The Leper Affinity 3) Closure 4) Deliverance |
Les moments forts auront été délivrés cette année par les anglais, avec d’une part la tombée de nuit accélérée par Cradle of Filth. Entendons-nous bien : cela fut une prestation relativement moyenne du fait de gros problèmes de voix chez notre cher Dani Filth (époque où s’enregistrait le médiocrissime Thornography… ceci expliquant cela). Malgré tout, cela m’a fait extrêmement plaisir de les voir dans de si bonnes conditions de jeu.
D’autre part, Akercocke a pu donner sa toute première apparition scénique en France (la seconde se trouvant ici même : lien direct ). Malgré le fait que le groupe jouait en plein jour (ce qui est assez étrange pour un tel univers, avouons-le), les cinq gentlemen en costume noir et blanc auront délivré une prestation millimétrée et incisive. La messe noire se sera donc bien déroulée, malgré un soleil assassin.
Le Hellfest n’en étant qu’à sa toute première édition, nous étions loin de nous imaginer la suite des événements…
Déposées par Vlad Tepes.
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