lundi 8 avril 2013

Cernunnos Pagan Festival 6 - Live Paris 2013



Cernunnos Pagan Festival 6

Contrastes païens…

(par Vlad Tepes & Metallic)




Moment : 24/02/13.
Lieu : La Machine du Moulin Rouge (Paris 18ème).



Cernunnos Pagan Festival 6 @ La Machine du Moulin Rouge, Paris 24/02/2013



Il aura fallu deux années pour que le Cernunnos Pagan Festival nous revienne, ce qui pouvait laisser planer une certaine inquiétude chez les amateurs de joyeusetés païennes. Et bien les voilà rassurés, le festival présentant en cet an 2013 une affiche éclectique voir surprenante.

Engouffrons-nous à présent dans la Machine…




Groupes :

 Drakwald Nydvind   Barbarian Pipe Band
 Waylander Nightcreepers   Belenos
 Hypocras Menhir   Folge Dem Wind
 Corvus Corax




Drakwald_logo


Thibaud (Drakwald)

Arrivant en retard à l’événement païen, je ne pus assister à la prestation de Drakwald, et je m’abstiendrais donc d’en dire quelques mots. Mais je laisse les clichés de mon cher compère vous parler d’elles-mêmes !








Nydvind_logo

Un fâcheux contre-temps me fit donc arriver en plein milieu du set de Nydvind, qui était l’un des deux concerts pour lesquels je m’étais déplacé ! Ainsi, c’est sans attendre que je plongea dans le set en plein milieux de Blood and steel, et quel plaisir de se sentir les pieds dans la neige grâce à de simples notes…


Richard (Nydvind)

Nesh (Nydvind)


Après ce titre familier, Nydvind décide de nous transporter vers l’inconnu avec un tout nouveau titre issu du troisième opus à paraitre intitulé "Seas of Oblivion" : Sailing toward the unknown, dont vous pouvez vous délecter juste ici :




Commençant par un mid-tempo profondément épique, des paysages commencent à se dessiner devant nous, sur fond de ce je nommerai du black métal contemplatif. Vocalement, l’ensemble fait alterner les traditionnelles parties en chant clair, couplées au chant black (voir certains passages plus gutturaux). Malgré un petit souci technique, une transition acoustique fit une tardive entrée, avant que le morceau ne reparte dans un black métal tragique puis furieux.


Nesh (Nydvind)

Loïc Courtete (aka Kraban) (Nydvind)


Cette longue pièce, bien que foncièrement nouvelle dans le travail de composition de Nydvind, pourrait malgré tout être rapprochée du métal contemplatif de "Eternal Winter Domain".

Après cette furie, il convenait de ralentir quelque peu le tempo, et Nydvind nous offrit un interlude à paraitre sur le 4ème opus du groupe :




Ce fut donc l’occasion pour Nesh de tester son bouzouki, sorte de luth grec, dans une composition plutôt lumineuse et assez inhabituelle pour du Nydvind je dois dire !


Nesh (Nydvind)

Nesh (Nydvind)


Issu de cette lumière, le feu vint à présent envahir la Machine avec l’irrésistible Son of fire. La fièvre automatiquement dégagée par le titre me renvoya deux ans en arrière lors de leur concert parisien à l’Espace B, où la fosse fut électrisée par ce brûlot scénique. Jouissif !

Malheureusement, ce show de Nydvind en arriva à ses derniers moments, et se clôtura par un Thunderhymn indispensable :




En adorateur absolu de "Eternal Winter Domain", je ne pus qu’une fois de plus m’incliner devant cette longue marche hivernale. Cet hymne au tonnerre n’a pas pris une seule ride depuis dix ans ! Clôturant de belle manière leur set, les Nydvind repartirent en fiers conquérants…


Richard (Nydvind)

Richard (Nydvind)


Ce set de Nydvind m’aura fait le plus grand bien, ce souffle épique m’ayant nourri malgré une durée de jeu bien trop courte à mon goût (là est le jeu de tout festival…). Retranscrivant avec fidélité les titres des deux premiers opus, la fraicheur des nouveaux morceaux présage du meilleur pour l’avenir proche de l’entité. Car l’inédit et le familier se côtoient pour nous présenter une mise en bouche des 3ème et 4ème opus, qui nous l’espérons verront le jour le plus rapidement possible ! De plus, un concert "plein" serait le bienvenu, pour rassasier les mélomanes « hivernaux » tel que moi, avides des vents glacés de nos chers franciliens…





Set-list Nydvind @ Cernunnos Pagan Festival 6 @ La Machine du Moulin Rouge, Paris 24/02/2013
Set-list Nydvind :

1) Skywrath
2) Blood and steel
3) Sailing toward the unknown
4) Interlude
5) Son of fire
6) Thunderhymn






Barbarian Pipe Band_logo

Descendant dans la Petite Machine, c’est à une fête barbare qu’il me sembla assister ! En effet, les italiens de Barbarian Pipe Band demeurent une attraction à part entière, comme le démontre Defecatio Imperatrix Mundi (issu du nouvel album actuellement en cours d’enregistrement) :


Présentant une musique folklorique non-métallisée (pourrions-nous dire), nos barbares ont enflammé la fosse avec aisance au rythme de leurs sons bruts. Car ici, point de mélodie au sens convenu du terme ne viendra pointer le bout de son nez.

Assez surprenante et plutôt plaisante au départ, je me suis malheureusement lassé au bout de quelques morceaux, un certain aspect redondant commençant à m’envahir. En effet, je ne suis pas vraiment amateur de musique strictement rythmique, et je n’ai donc pas trouvé mon compte dans cette prestation des Barbarian Pipe Band.


Barbarian Pipe Band


Ainsi, malgré une prestation expressive pour le style pratiqué, j’en fus relativement en retrait. Toutefois, je ne peux que conseiller à tout barbare qui se respecte d’assister à l’un des concerts des endiablés Barbarian Pipe Band, car la fête est bel et bien au rendez-vous !!







Waylander_logo

N’étant pas nécessairement grand amateur de folk métal, les irlandais de Waylander faisaient partie des groupes que je souhaitais découvrir sur scène. En effet, cela fait bien longtemps maintenant que leur nom erre au sein de la scène folk black métal.

Ard Chieftain O'Hagan (Waylander)

Dave Briggs (Waylander)


Disons-le dès le départ, le son de leur prestation fut le gros point noir, comme vous pouvez l’entendre sur Walk with honour :




En effet, les guitares se sont avérées excessivement en retrait, peut-être pour mieux rendre audible la flûte. Mais le confort d’écoute ne fut pas au rendez-vous, tout comme l’originalité se révélant aux abonnés absents. J’ai récemment lu que Waylander ne se préoccupait pas d’être original, ce qui m’a été confirmé par cette prestation parisienne.




Ces deux points additionnés, je ne fus nullement conquis par leur prestation, ressassant inlassablement les mêmes éléments inhérents au folk métal. Déception quand tu nous tiens…

Michael Procter (Waylander)

Ard Chieftain O'Hagan (Waylander)





Set-list Waylander @ Cernunnos Pagan Festival 6 @ La Machine du Moulin Rouge, Paris 24/02/2013
Set-list Waylander :

1) Echoes of the Sidhe
2) Walk with honour
3) Quest for immortality
4) Kindred spirits
5) Lámh Dearg
6) Born to the fight
7) King of the fairies







Nightcreepers_logo

Après Waylander, j’avais bien besoin d’être quelque peu reboosté. J’attendais ainsi beaucoup du concert des Nightcreepers




Pratiquant un folk métal assez enlevé rythmiquement, je dois dire que les morceaux joués ce soir-là possédaient un certain charme malgré une originalité peinant parfois quelque peu :




Et à bien moindre mesure par rapport à Waylander, je fus lassé par des éléments trop typiques du genre. De plus, je ne suis pas nécessairement client de l’approche moderne se mêlant au folk métal, ce qui a trait à ma propre subjectivité bien entendu.


Haarath (NightCreepers)


Tirraël (NightCreepers)


Manifestement, le public semble avoir apprécié cette prestation des Nightcreepers, s’adressant directement aux amateurs d’un style entre tradition et modernité. J’en appelle ainsi à votre propre subjectivité, amateurs de rythmes effrénés !

Hindrik (NightCreepers)




Set-list Nightcreepers :
1) Tale of haste
2) Alpha
3) A guild is formed
4) Elmore tempest
5) Beloved dryad (from the hollow woods)
6) The warcryer
7) Set sails
8) Battle through the wind






Belenos_logo

Et voilà que nous en arrivons à mon motif premier de déplacement à cette 6ème édition du Cernunnos Pagan Festival, les celtiques Belenos. Les ayant vus à deux reprises (notamment lors de la 4ème édition de ce même festival), je restai toujours curieux…


Loïc Cellier (Belenos)


Yohann Mahé (Belenos)


Dès les premières notes, mon âme fut prise de surprise et de vive émotion alors que la Dernière rencontre vint percuter mon triste cœur noir. Ayant pu échanger quelque peu l’année passée avec Mr Cellier sur la quasi nulle probabilité d’entendre un extrait de "Triste Pensée" (fabuleuse et atypique seconde démo de 1997, dont la haute qualité la range pour moi au niveau d’un album en tant que tel… quelle hérésie de parler de "démo" face à telle œuvre !), je m’étais donc fait une raison. Et bien cette Dernière rencontre vint raviver mes espoirs les plus profonds en matérialisant ce superbe morceau :




Agrémenté de quelques changements rythmiques, l’ensemble fut interprété avec fidélité et aura vraiment permis de faire revivre cet antique titre, dans toute sa rudesse et toute sa mélancolie. Je ne pouvais rêver de meilleur cadeau (excepté une illusoire interprétation de Tristesse…), et cette Dernière rencontre m’aura impacté au plus profond.

Le concert se poursuivit dans les prémisses du groupe, avec cette fois-ci "Allégorie d’une souffrance" (1999) au travers de ce Déchirement. Efficace et ambiancé, sa noirceur se propagea, même si nous aurions pu souhaiter des vocaux plus enragés.


Yohann Mahé (Belenos)

Loïc Cellier (Belenos)


Provoquant un sursaut considérable de l’audience, la Terre de brume fit son apparition et imprima un sourire sur bon nombre de visages. Car il est bien difficile de résister à son efficacité !

Le morceau suivant attisa bien moins mon engouement, représentant le dernier opus du groupe "Yenn Sonn Gardis" (2010) en la qualité de Gorsedd. N’étant pas grand amateur de ce morceau trop joyeux, ou plutôt devrais-je dire « pas assez triste », je ne fus nullement transporté et resta relativement impassible.


Antoine Guibert (Belenos)

Yohann Mahé (Belenos)


Répondant à la demande implicite de l’audience, le très populaire "Spicilège" (2002) refit son apparition avec l’hymne Par Belenos. Une fois de plus, l’efficacité fut de mise et il fut bien bon de chanter à gorge déployée !

Le climat se durcira avec le morceau suivant, cette fameuse Fureur celtique. Issu  de l’inégal "Chants de bataille" (2006), il faut bien avouer que Fureur celtique possède en son sein tous les ingrédients caractéristiques de l’art de Belenos, dans son acception la plus noble et la plus entière :




En effet, une profonde rage mélancolique se déploya au travers d’une interprétation d’une grande justesse, où les vocaux furent particulièrement brillants. A mon sens, ce fut l’un des meilleurs moments de ce concert parisien.

Comment faire l’impasse sur "Notre amour éternel" (tous premiers travaux de 1996) ? Et bien cela est impossible, et il fut temps pour Le déluge de venir s’abattre sur nos âmes. Cela est toujours un grand plaisir que d’entendre cette rageuse prière, bien que la frustration demeure présente en live. En effet, le long final acoustique se trouve systématiquement omis, amputant selon moi une grande part de l’essence-même du morceau, l’achevant de brutale et indélicate manière. Malheureusement, Le déluge s’achève donc toujours pour moi sur cette note inconfortable d’amertume…


Loïc Cellier (Belenos)


Yohann Mahé (Belenos)


En revenant à des "Errances oniriques" (2001), Morfondu provoque toujours force frénésie en moi grâce à sa rythmique impitoyable. Très rapide et possédé, il s’agit d’un moment quasi indispensable pour tout concert qui se respecte de Belenos.

Mais ce celtique concert touche déjà à sa fin, et L’enfer froid vint de nouveau frapper à notre intime porte :




Son aspect glacial marque toujours autant l’auditeur, avec une rage se rapprochant quelque peu de Fureur celtique. L’ayant pourtant entendu à plusieurs reprises, je ne me lasse pas de ce morceau épique et mélancolique, imprimé dans des tons bleus glacés.

Il nous faut bien avouer que Belenos gagne en maturité scénique au fil des concerts, et cette prestation parisienne n’aura pas fait dévier ce constat. Malgré un manque de prise de risque parfois (notamment privilégier "Spicilège" avec deux morceaux, au détriment d’autres œuvres du même coup), le rendu global demeura respectueux des travaux studio de l’entité, et dégagea une qualité évidente.


Loïc Cellier (Belenos)


Mon mot de la fin est un remerciement adressé à Mr Cellier, pour avoir offert à mon âme une Dernière rencontre immortelle… Merci infiniment.





Set-list Belenos @ Cernunnos Pagan Festival 6 @ La Machine du Moulin Rouge, Paris 24/02/2013
Set-list Belenos :

1) Dernière rencontre
2) Le déchirement
3) Terre de brume
4) Gorsedd
5) Par Belenos
6) Fureur celtique
7) Le déluge
8) Morfondu
9) L’enfer froid






Hypocras_logo

Retournant dans la Petite Machine, ce sont de jeunes loups qui se produisaient sur scène, les suisses d’Hypocras. Ils ont exprimé un folk métal que je qualifierais d’assez impulsif, car immédiat et partant parfois dans plusieurs directions. Vous pouvez vous faire votre propre opinion avec le titre Blood feast issu de leur 1er opus à venir :




Pour être franc, cette prestation n’aura pas réussi à me convaincre, demandant selon moi à se développer et s’affirmer bien plus. En effet, la musique d’Hypocras me semble nécessiter plus de contenance même si elle aura séduit une très large partie de l’audience.


Alex (Hypocras)


Toutefois, je retiens de ce concert le large sourire du vocaliste Alex qui faisait plaisir à voir, montrant grandement sa satisfaction (sa fierté !) à jouer ce soir-là.








Menhir_logo

Je ne connaissais pas du tout le groupe à venir, mais j’avoue qu’un tel nom de groupe aurait plutôt tendance à me placer sur la défensive. En effet, cela présage du métal païen pur jus : Menhir.


Heiko Gerull

Fix

Dès leur entrée sur scène et dès les premières notes, cela fut hautement confirmé avec un métal puissant, exécuté avec conviction. Bénéficiant d’un des meilleurs sons du festival, Menhir a offert un set solide et assez varié, malgré quelques redondances ci-et-là. Toutefois, nous aurons pu assister à quelques brulots tels que ce Wotans Runenlied :




S’adressant quasi exclusivement aux barbares, le profane pouvait malgré tout glaner des éléments mélodiques intéressants, même si cela n’aura pas emporté ma pleine conviction.
Toutefois, je dois bien avouer que ce concert de Menhir fut d’excellente facture, faisant la démonstration d’une expérience certaine.


Franziska





Set-list Menhir :
1) Einherjer
2) Das alte Lied des Windes
3) Wotans Runenlied
4) Menhir
5) Das verborgene Reich
6) Des Kriegers Gesicht (Ulfhednar)
7) Das Hildebrandslied, Teil I






Folge Dem Wind_logo

De retour dans les bas-fonds de la Machine, je restai profondément curieux d’assister à la prestation des franciliens de Folge Dem Wind. Un sombre prélude initia ce moment, où le vocaliste s’amusa à plonger durant de longues minutes la tête d’un esclave dans une antique bassine pleine de boue. A vrai dire, je suis profondément client de ce type de mise en scène, et restai donc curieux devant la suite des opérations…


Performance Folge Dem Wind

Performance Folge Dem Wind


Dès le départ, le son de Folge Dem Wind fut assez indigeste je dois bien le dire. Pratiquant un black métal païen assez original, il fut bien difficile de s’immerger pleinement dans le moment à cause de ce seul facteur. Pourtant, tous les ingrédients sont là pour offrir un excellent concert : un groupe convaincu de son art, des compositions racées et contrastées… Jugez-en plutôt par vous-même avec ce sombre Hail the Pagan Age :




Mais la médiocrité du son sortie malheureusement victorieuse, à mon grand regret... Ainsi, je fus profondément frustré de ce concert de Folge Dem Wind, et espère les revoir très bientôt dans de meilleures conditions…


Aekon (Folge Dem Wind)

Kilvaras (Folge Dem Wind)





Set-list Cradle of Filth @ Cernunnos Pagan Festival 6 @ La Machine du Moulin Rouge, Paris 24/02/2013
Set-list Folge Dem Wind :

1) Of primordial whirlwind
2) Thus echoes the earth
3) Hail the pagan age
4) Inhale the sacred poison
5) Of blood and ether
6) Awakening in unity
7) Of bloody hands and mocking stars






Corvus Corax_logo




L’audience se diversifia pour la tête d’affiche, les célèbres Corvus Corax. En effet, parmi les métalleux se sont immiscés quelques non-initiés aux joies des guitares saturées. Par ailleurs, le groupe allemand attisait ma curiosité je dois bien le dire…


PanPeter (Corvus Corax)

PanPeter & Vit (Corvus Corax)

Wim Dobbrisch & Castus Karsten Liehm (Corvus Corax)

Norri Drescher (Corvus Corax)


Ayant amené un attirail scénique assez conséquent, le tout s’annonçait très scénarisé. Mais je fus très déçu. En effet, la théâtralisation ne fut pas assez mise à l’honneur selon mes attentes. De plus, malgré une musique solide, je regrette que le climat de ce concert fut aussi festif et répétitif. En effet, le tout me sembla tourner en rond avec des rythmiques un peu faciles mais surtout manquant de diversité, à l’image de cette dernière :




A contrario, j’ai largement préféré les titres plus ambiancés et plus lents de Corvus Corax, montrant le groupe sous un jour plus profond.


Vit (Corvus Corax)
PanPeter (Corvus Corax)
Castus Karsten Liehm (Corvus Corax)
Hatz (Corvus Corax)


La fosse fut conquise de bout en bout, et je me sentis bien seul au milieu de cette ambiance chauffée à blanc. En effet, je n’aime pas les musiques païennes enjouées et il m’est nécessaire des émotions plus sombres et mélancoliques. Autant dire que ce show de Corvus Corax ne pouvait répondre à aucune de ces exigences. Autrement dit, ce fut bien dommage pour moi…


Hatz (Corvus Corax)

PanPeter (Corvus Corax)

Wim Dobbrisch & PanPeter (Corvus Corax)

Norri Drescher (Corvus Corax)






Cette sixième édition du Cernunnos Pagan Festival aura selon moi tenu toutes ses promesses et aura su ravir les amateurs du genre. En effet, il y avait assez de diversité pour pouvoir les nourrir avec avidité, offrant par ailleurs une sacrée dose d’éclectisme.

Que les cornes de brume résonnent très bientôt pour une septième édition ! Par Cernunnos !!


Février/Mars/Avril 2013,
Rédigé par Vlad Tepes.



Cernunnos Pagan Festival 6 @ La Machine du Moulin Rouge, Paris 24/02/2013



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